
Alors que les chanteurs de puces commencent à se développer SoC traditionnels Là où s’intéresser à d’autres architectures comme RISC-V, ARM voudrait empêcher à partir de 2024 l’utilisation deIP* externe à l’entreprise. En gros, il ne sera pas possible d’ajouter d’autres technologies à un SoC ARM.
ARM a un moyen d’écrire ?
Cette analyse vient directement de l’analyste américain Dylan Patel qui est bien informé dans les circuits semi-conducteurs. Ce dernier a révélé qu’ARM veut changer son modèle économique à partir de 2024. Un changement de politique qui pourrait faire mal aux oiseaux Douaneen particulier de Samsung et Mediatek.
En effet, l’entreprise britannique qui a subi de nombreux chocs ces dernières années, comme l’histoire avec Nvidia ou la branche Kannada qui a pris son indépendance, s’est mise à télécharger des tissus cérébraux vers d’autres entreprises. Dernier conflit en date, l’entreprise a poursuivi l’un de ses plus gros partenaires : Qualcomm.
Pour résumer, certains développeurs développant de nouveaux SoC utilisent des solutions tierces pour remplacer certains éléments techniques qui ne sont plus compétitifs en termes de performances et d’efficacité avec ARM. L’exemple le plus concret concerne la section graphique AMD chez Samsung. L’utilisation de technologies externes entraîne une réduction des impôts payés, ce qui va grandement bouleverser l’industrie britannique.
Nous sommes donc arrivés le 28 octobre, alors que les nouvelles informations sur ARM sont tombées : d’ici 2024, ARM cessera de délivrer des licences aux fabricants de puces, ce seront plutôt les fabricants de smartphones qui les recevront selon Qualcomm. Ainsi, la seule façon pour les fabricants de continuer à vendre des puces ARM sera de n’utiliser que l’IP de l’entreprise.
Des partenariats tels que : Samsung/AMD, Mediatek/Imagination ne pourront pas être renouvelés après 2024, les cœurs personnalisés en développement (comme Phoenix de Qualcomm) ne pourront pas être utilisés, bien que nombre de ses solutions soient plus fonctionnelles que celles proposées par ARM.
Les résultats de cette décision seront l’accélération de l’adoption de l’architecture RISC-V, qui commence à grignoter des parts de marché. Certaines grandes entreprises comme Apple ont apparemment commencé à se lancer dans le développement de leurs futures entreprises.
Pour lire le “rapport” dans son intégralité, rendez-vous à la source : semianalysis.com
* PI : propriété intellectuelle / brevet.